• Aller à la navigation principale
  • Aller au contenu principal
  • Aller à la barre latérale principale
  • Aller au pied de page
  • 04 71 50 42 14
Moulin de Serres

Moulin de Serres

Le Moulin de Serres livre au domicile de ses clients une viande de qualité, fraîche, dans un conditionnement adapté à la taille de chaque foyer.

  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
    • Notre histoire
    • La production
    • Les producteurs
    • Comment passer commande ?
  • Recettes
    • Porc
    • Boeuf
    • Veau
    • Volailles
    • Agneau
  • Catalogue
  • Blog
    • La vie du Moulin
    • Actualités
    • Agriculture/Elevage
    • Culture culinaire et savoir-faire
    • Recettes
  • Vos questions
  • Contactez-nous

Actualités

Crise des éleveurs: et si les circuits courts étaient la solution?

Le mécontentement de nos collègues ne s’atténue pas, ils continuent de protester contre les prix insuffisants de leurs productions et appellent le gouvernement à réagir. Les agriculteurs pointent du doigts les intermédiaires : industriels et grande distribution. La somme qu’ils récupèrent au final est beaucoup trop faible selon eux, notamment à cause de tous ces intermédiaires.

L’une des pistes avancées pour les soutenir est le développement des circuits courts. Certains éleveurs ont déjà opté pour ce système de vente. On qualifie de circuit court un circuit de distribution dans lequel intervient au maximum un seul intermédiaire entre le producteur et le consommateur (La vente directe, elle, n’en inclut aucun).

Nous savons de quoi nous parlons, au Moulin de Serres c’est le choix que nous avons fait il y a bientôt 20 ans. Entre la vente directe et le circuit court, nous avons forcément une conscience aiguë de tout cela. Vous trouverez chez nous une viande différente, élevée sereinement et dont le producteur est rémunéré de façon décente, le tout livré à domicile ! Comme quoi c’est possible.

Circuit-court-LeMoulinDeSerres
Le Moulin de Serres raccourcit les circuits de distribution.

Couleurs et pigment animal

comment-exposer

Et si nous nous offrions une parenthèse artistique aujourd’hui ?

Ce weekend commence à Brioude, la 7ème édition de la Biennale d’aquarelle : des dizaines d’expositions au 4 coins de la ville, des peintres, des carnettistes, des animations, bref un rendez-vous artistique international à ne pas rater !

L’aquarelle est une technique picturale fondée sur l’utilisation de pigments finement broyés et agglutinés avec de l’eau gommée. Les premiers témoignages de cette méthode remontent à la Préhistoire, l’Égypte ancienne et bien sûr la Chine où, dès le III ème siècle, les chinois s’employèrent à peindre sur la soie avec des colorants solubles à l’eau. Réputée comme une pratique difficile, l’aquarelle demande de la précision et de la persévérance ! Depuis le Moyen-Âge, les artistes ont expérimenté diverses “recettes” d’aquarelle, et ont ainsi découvert que, à l’inverse de la gomme arabique, le fiel de bœuf opérait comme stabilisateur.

Tiré d’une sécrétion du foie de l’animal, le fiel de bœuf se présente sous la forme d’un liquide vert-brun, mais incolore et cristallin lorsqu’il est purifié. On trouve de nombreuses références de son utilisation dans les anciens manuscrits de recettes d’enluminure. Le fiel de bœuf est un agent mouillant, qui améliore la fluidité des couleurs, et qui permet aux pigments de mieux s’étaler sur des surfaces grasses, et d’être mieux absorbé si le papier est trop lisse. Il est également utilisé dans la technique des vernis à craqueler.

Comme l’aquarelle avec le fiel de bœuf, de nombreuses et ancestrales techniques picturales ont vu le jour et perduré, grâce à la contribution animale. La tempera, qui est la principale technique de peinture à l’eau employée depuis des temps immémoriaux, est basée sur l’utilisation de l’œuf comme médium pour lier les pigments. La tempera était appliquée sur différents supports comme du plâtre, ou du bois préparé à la colle de peau. Encore utilisée aujourd’hui, cette colle à base de peau de lapin est la meilleure des colles animales, elle possède des propriétés de finesse et de souplesse inégalables, appréciées en peinture et ébénisterie.

Ce ne sont, certes, pas des recettes très appétissantes mais c’est intéressant de connaitre ces techniques millénaires qui ont fait, et font encore, les riches heures  de l’histoire de l’art !


2d8c7c6e2ce64e0058b7f11a3beb09a0

 

La Biennale d’Aquarelle de Brioude (Haute-Loire), c’est dans toute la ville du 10 au 25 juillet 2015.

Souvenirs d’enfance et recettes de grand-mères

Dimanche c’est la fête des grand-mères, l’occasion pour nous de se replonger dans nos plus vieux souvenirs d’enfance, l’espace d’un instant …

On en a tous en tête des souvenirs gourmands de la cuisine concoctée par notre grand-mère, qui a marqué notre palais et ce, peut-être, jusqu’à la fin de nos jours. Rien que d’y penser, resurgi des tréfonds de notre mémoire l’odeur d’un plat, son goût, sa saveur…

Nous avons demandé autour de nous, au Moulin de Serres, à nos proches amis, quelle était la recette de grand-mère la plus délicieuse et marquante de leur enfance. Et bien, en bons auvergnats que nous sommes, ce sont des recettes typiques de chez nous qui sont le plus souvent revenues…

À commencer par la pachade, mainte fois citée et toutes générations confondues. Cette préparation mi crêpe, mi omelette, est typique de l’alimentation des campagnes auvergnates. Servie aussi bien au petit déjeuner, qu’au goûter ou souper, elle peut être “généreusement tartinée de confiture”, ou “fine avec des pommes de terre”, mais aussi “avec du lard et du fromage”.

«Lorsque nous rentrions de l’école, ma grand-mère avait déposé la pachade sur le bord de la fenêtre pour la faire refroidir. Avec ma sœur, nous courions pour arriver avant notre frère qui se gardait toujours la plus grosse part.»

Sa recette est simple, il suffit de battre 4 œufs dans un bol avec 4 cuillères à soupe de farine, puis saler et poivrer généreusement, et enfin ajouter du lait petit à petit, afin d’obtenir une pâte un peu plus épaisse qu’une pâte à crêpe traditionnelle. La pachade se cuit à la poêle, elle doit gonfler au contact de l’huile. L’idéal est de réserver une poêle en acier qui ne servira qu’à la pachade !

Ensuite, la râpée de pomme de terre a été évoquée plusieurs fois, ainsi que le feuilleté à la viande, le civet de lapin et pot-au-feu.

Quant au boudin noir, il semble avoir encore plus marqué ceux qui, petit enfant, assistaient (plus de loin, que de près) à la mort du cochon …  Tuer le cochon était un événement familial important qui fait encore partie des traditions campagnardes. Le sang fraîchement récupéré servait à la fabrication du boudin.

«Sur un lit de pommes conséquent et poêlé, ma grand-mère rajoutait le boudin coupé en rondelles puis elle le recouvrait. La vapeur dégagée par les pommes faisait gonfler le boudin qui soulevait le couvercle, gage de sa fraîcheur, et il était on ne plus moelleux !»

Nos papilles, notre nez, nos yeux, ont enregistré sans peine ces formidables recettes qui nous font remonter le temps. Elles nous rappellent nos racines, et tout ce qui a été source de bonheur au cour de notre enfance.

(Retrouvez la recette du saucisson brioché de Paulette dans notre espace recette.)

Enfants en cuisine : de grands instants de découvertes

Enfants-en-cuisine-LeMoulinDeSerres01

Ce weekend, ce sont les vacances d’hiver pour nous, habitants de la zone A, et si vous avez vos enfants ou petits-enfants à la maison ces prochaines semaines, pourquoi ne pas les occuper en cuisine ?

Généralement ils adorent faire comme les grands, et prennent plaisir à participer à l’élaboration des repas en découvrant de nouvelles saveurs et textures.

Cuisiner avec les enfants c’est leur faire vivre de nouvelles expériences, et c’est aussi l’occasion de perdurer la tradition familiale. Cuisiner c’est tout simplement un art de vivre !

Concernant la pratique, on n’est pas obligé de forcément faire des crêpes ou des sablés, on peut se lancer dans une cuisine inventive et concocter un  plat simple, mais riche en découvertes.

Le site Takatrouver répertorie des recettes proposées par les enfants eux-mêmes, ils les ont expérimentées et les partagent avec leurs mots, c’est plutôt sympathique. Par exemple, le poulet au curry de Marine, ou le mélange de légumes façon malgache de Cédric.

De plus, ils peuvent participer à plusieurs tâches durant toute l’élaboration du plat : du nettoyage des légumes à celui de la vaisselle, en passant par les différentes étapes de mélanges, pesées, épluchages.

Alors laissez donc les enfants manier la spatule et le fouet, les aliments à l’état brut, ils seront heureux et fiers de passer à table avec vous.

Cuisiner du gibier pour Noël

gibier_noel_moulin_de_serres

Nous venons vous taquiner les papilles avec un petit avant-goût des fêtes de Noël; cette année le cerf et le sanglier sont à l’honneur au Moulin de Serres !                                                                                   Cuisiner du gibier n’est pas aussi difficile qu’on pourrait le croire.

Le cerf, la biche, le sanglier font partie du gibier dit à poils. Le sanglier, sauvage ou d’élevage, est assez pauvre en matière grasse, mais a un goût plus prononcé que son cousin le cochon. Il demande une assez longue préparation, notamment plusieurs heures de marinade, puis de cuisson. La viande de sanglier s’adapte sans problème à la plupart des recettes de porc. Le plus souvent, il est cuisiné en civet, avec du vin rouge, des oignons, des herbes aromatiques, thym, romarin, ail, gingembre, osez aussi le sucré en ajoutant des fruits pour nuancer les saveurs.

Le cerf est une viande peu calorique et riche en protéines. Pour faire cuire une viande de cerf, notamment un pavé, il faut la saisir à feu vif, comme du bœuf. Nous vous conseillons de la déguster légèrement rosée pour plus de saveur et de tendreté. Le cerf peut aussi être préparé en civet;  au Moyen Âge, le cerf n’était pas mis à mariner, mais bouilli jusqu’à complète cuisson pour l’attendrir, aujourd’hui il est conseillé de faire mariner les morceaux coupés en cubes, dans un mélange de vin, oignons, carottes, bouquet garni, une journée durant. Á la préparation du civet, il faut ajouter farine, gousses d’ail, bouquet garni, huile d’olive, sel et poivre. 

Petit secret de cuisinier : un ou deux carreaux de chocolat noir en fin de cuisson du civet, aide à retirer la légère amertume du vin cuit et corser la sauce.

Ces viandes d’exception doivent être accompagnées de vins rouges plutôt corsés et racés, Saint-Estèphe, Pauillac, Gigondas, Pomerol, Madiran.

Inviter ces rois de la forêt à votre table de réveillon changera de votre traditionnelle dinde, et épatera vos convives !

Nb: Nous garantissons l'origine FRANCE de notre gibier ! 

Enregistrer

  • « Go to Previous Page
  • Go to page 1
  • Go to page 2
  • Go to page 3

Barre latérale 1

Bienvenue chez nous, au cœur de l’Auvergne.

Pionnier du circuit court, Le Moulin de Serres livre au domicile de ses clients une viande fraîche, de qualité, dans un conditionnement adapté à la taille de chaque foyer .

Pouvons-nous vous livrer ?

:

La recette du moment

  • Rôti de veau aux girolles

Suivez-nous

Footer

Situé au cœur de l’ Auvergne, pionnier du circuit court, Le Moulin de Serres livre au domicile de ses clients une viande de qualité, fraîche, dans un conditionnement adapté à la taille de chaque foyer.

  • Facebook
  • Instagram
  • Pinterest 
  • Twitter
  • Qui sommes-nous ?
  • Catalogue
  • Comment passer commande ?
  • Mentions légales

Articles récents

  • Carbonade Flamande
  • Calendrier des livraisons et retraits des commandes de Noël
  • Noël 2020
  • Farce à tomates ou chair à saucisses ?
  • Viande d’Auvergne et parfums exotiques

Copyright © 2021 · Le Moulin de Serres · Réalisation Bertrand Soulier -Votre Coach Web